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Les 40 ans de la Route du Rhum – Destination Guadeloupe, temps fort de l’année pour Charal,

ÉDITO PAR MATHIEU BIGARD

Les 40 ans de la Route du Rhum – Destination Guadeloupe, temps fort de l’année pour Charal, marquent véritablement l’engagement de la marque dans la voile puisqu’il s’agit de la première course de Jérémie Beyou sur le tout nouveau foiler Charal. Un projet démarré en avril 2017, qui nous mènera jusqu’au Vendée Globe 2020 et à la Route du Rhum 2022.

Lors de la Solitaire Urgo Le Figaro en 2017, les équipes Charal ont été fières de prendre part à ce premier événement du programme de sponsoring voile. Concomitant avec le lancement de notre nouvelle plateforme de communication « CHARAL Vivons Fort », cette épreuve a montré que nous allions vivre fort la voile avec Jérémie et avec nos consommateurs !

La construction du nouvel IMOCA Charal – le dernier-né de la classe – et sa récente mise à l’eau ont su nous tenir en haleine jusqu’au bout. Le 21 août dernier, nous avons découvert avec joie et fierté cette magnifique « fusée des mers ». Nous sommes désormais impatients de voir Jérémie à bord… Sur ce parcours fabuleux de Saint-Malo à Pointe-à-Pitre, notre skipper a toutes les cartes en main pour écrire une belle histoire, car sur le plan sportif, la course promet d’être intense avec une jolie flotte d’IMOCA sur la ligne de départ.

Il y aura certainement une émotion toute particulière le 4 novembre prochain au départ de Saint-Malo pour Jérémie et l’ensemble des collaborateurs de Charal qui ont participé de près au lancement de l’aventure. C’est important pour les 3000 collaborateurs de la société (siège social à Cholet) d’être acteurs et associés à ce projet mobilisateur, synonyme de cohésion interne, de motivation et de fierté d’appartenance.

Notre participation au circuit IMOCA et au Vendée Globe est en parfaite cohérence avec l’ADN de Charal, qui est une marque performante et innovante. Nous retrouvons cet esprit d’innovation et de performance au sein de l’IMOCA : à chaque édition du Vendée Globe, de nouvelles générations de bateaux plus sophistiqués améliorent les temps précédents. Enfin, la voile, c’est aussi l’esprit d’équipe, une notion qui nous est très chère. De très beaux moments de partage et de plaisir seront au rendez-vous sur cette première course et sur son village où nous serons heureux d’accueillir nos consommateurs sur le stand Charal qui leur sera dédié.

« Vivons Fort la Route du Rhum avec Charal. »

 

Q/R Jérémie Beyou

Jérémie, tu reviens au solitaire après avoir remporté, avec Dongfeng, la Volvo Ocean Race, la course océanique en équipage. Que t’a appris cette formidable régate de neuf mois autour du monde ?

Je rentre plus riche. Je reviens la tête haute et j’ai gagné en sérénité. J’ai progressé dans l’analyse des données, dans la confrontation avec des marins exceptionnels. On l’a emporté et, compte tenu du niveau de la concurrence, on peut bomber le torse. Une expérience forte humainement et sportivement.

Ma participation à cette course m’a enlevé plein de craintes et de petits freins. C’est bien, car, lors du prochain Vendée Globe, il va falloir allumer, le niveau de la compétition ne faisant qu’augmenter.

Précisément, le Vendée Globe 2020 est ton objectif n° 1. Ce sera aussi ta 4e participation à cette épreuve prestigieuse en solitaire, que tu as finie à la 3e place en 2017. Pourquoi y retourner ?

Parce qu’il n’y a que le Vendée Globe qui demande une telle implication physique, une telle exigence mentale. Humainement parlant, en voile, c’est ce qu’il y a de plus fort. Je ne sais pas si je suis devenu accro du Grand Sud mais j’ai envie d’y retourner et ma motivation est intacte. Finir 3e en 2017, c’était bien, mais j’ai envie de faire mieux, d’être à la bagarre. C’est dans mon tempérament, je ne lâche rien. D’ailleurs, sitôt arrivé aux Sables-d’Olonne, j’étais déjà mentalement dans le Vendée Globe 2020.

 

Fort de cette expérience en équipage sur un Volvo 65, vas-tu naviguer différemment avec ton nouveau bateau ?

Les Volvo 65 ne soutiennent pas la comparaison avec les IMOCA. Ce sont des bateaux robustes mais moins dans la finesse qu’un IMOCA.

Il n’y a pas de stratégie d’évitement du mauvais temps, pas le souci permanent de la trajectoire soft et rapide à la fois comme en IMOCA.

Un IMOCA est beaucoup plus fin, c’est un peu comme faire du multicoque.

Avec l’expérience de la Volvo, j’ai appris à pousser plus fort, mais il faudra tout de même que je fasse attention, que je trouve le bon curseur pour continuer à progresser sans abîmer notre beau foiler Charal.

 

En 2020, tu prendras le départ du Vendée Globe avec un bateau neuf, dessiné et construit sur mesure. Que peux-tu nous dire sur cette « fusée » née du partenariat avec Charal ?

Ce bateau est différent des précédents 60 pieds. Il marque une rupture. Il a le déplacement le plus léger possible, pour avoir la traînée la plus réduite possible, avec le maximum de portance. La puissance vient des foils, pas de la carène ou du lest. Les foils vont pousser très fort. C’est un bateau assez techno. Il est issu de mon expérience, de mes objectifs, il me ressemble.

 

Le 4 novembre, départ de la Route du Rhum, tu seras à la barre de ton Charal. Quels sont tes objectifs ?

Fiabiliser ce nouvel IMOCA, voir ce qu’il a dans le ventre et me l’approprier. Il y aura forcément des enseignements à tirer de cette première confrontation. L’idée, c’est que le bateau soit le plus prêt possible pour le Vendée Globe. Compte tenu des expériences passées, j’ai voulu qu’il soit mis à l’eau plus tôt. C’est le bon timing.

 

 

Le mental est l’arme absolue du sportif et c’est ce qui peut faire la différence !

 

Les exigences du Vendée Globe et le défi présenté par ces « fusées » que sont les nouveaux IMOCA supposent que l’on soit au top physiquement et mentalement. Quid de ta préparation physique et mentale ?

Le programme consiste à faire en sorte que je sois bien dans mon corps et dans ma tête, avec un pic de forme pour la Route du Rhum. J’ai commencé à travailler le foncier, pour gagner en force et en tonicité. Ensuite, il s’agira de la préparation physique – gainage, musculation, proprioception – puis un cycle de force de ¾ semaines [LV1] et de la gymnastique. On a aussi mis au point des tests sur la concentration, pour améliorer les réflexes, comme pour les pilotes de Formule 1. L’objectif est d’optimiser la performance. Côté sommeil, je gère de mieux en mieux. J’arrive à moins dormir, à mieux récupérer et aujourd’hui, je n’ai besoin que de 3 à 4 heures par 24 heures. Je travaille aussi beaucoup la préparation mentale avec Alexis Landais.

Le dernier Vendée Globe m’a permis de me rendre compte que j’avais quelques lacunes de ce côté-là ! Quelques barrières, plus ou moins conscientes, que je m’imposais, ne me donnaient pas accès à toutes mes ressources…

Évacuer le stress et prendre du plaisir ! Voilà ce que je dois mettre en place pour être encore plus performant. Le mental est l’arme absolue du sportif et c’est ce qui peut faire la différence !

Je vais aussi travailler sur mon alimentation. Un diététicien me suit depuis plusieurs mois et on travaille déjà avec Charal sur des plats préparés. Si ça marche, on mettra en place quelque chose de plus conséquent pour le Vendée Globe. En résumé, il va falloir activer tous les leviers de performance. Le corps suit bien, alors avec l’expérience et le mental en plus…

 

 

La « fusée » Charal

IMOCA 60

 

Avec sa robe noire, l’important frégatage de l’étrave et la tête de taureau qu’elle arbore fièrement de chaque côté de sa proue, la nouvelle « fusée » mer-mer de Jérémie Beyou dégage une formidable impression de force, de modernisme… et d’élégance. « Ce bateau a été dessiné autour de ses foils en carbone, explique Pierre-François Dargnies, directeur technique de la Charal Sailing Team. Nous n’en avons jamais fait d’aussi grands et nous sommes à la limite de la puissance permise par le mât. En fait, nous avons un peu travaillé ce nouvel IMOCA comme un trimaran. Ses flotteurs, ce sont ses foils. Avec de tels appendices, nous ne sommes pas loin du vol. » Charal, avec lequel Jérémie va disputer dès novembre la 40e édition de la Route du Rhum, a été conçu pour courir et remporter le prochain Vendée Globe, en 2020, son objectif phare. Construit en carbone/nid d’abeille à Port-la-Forêt par CDK Technologies, le plan VPLP est un IMOCA de nouvelle génération, un concentré de technologie en rupture avec tout ce qui a été réalisé jusqu’ici dans cette classe. « Nous avons cherché à diminuer la traînée hydrodynamique, à faire le plus léger possible. La puissance vient des foils, pas de la carène ou du lest. C’est un bateau avant-gardiste », résume Jérémie.

« Aujourd’hui, note Pierre-François, on arrive en IMOCA à des vitesses comparables à celles des trimarans MOD 70. Concrètement, Charal devrait pouvoir marcher à plus de 35 nœuds hors surfs. Notre but, c’est de faire le tour du monde à 17 nœuds de moyenne, c’est à dire en 68 jours si les conditions sont bonnes. »

Si la coque est révolutionnaire, le plan de pont et le cockpit le sont aussi. Le cahier des charges était de s’inspirer de la zone de vie des derniers Ultime, c’est-à-dire d’avoir un maximum de choses au même niveau et une protection maximum du skipper. Le tout sans que ce soit trop handicapant sur le plan aérodynamique.

Le pari est réussi : tout ce qui est navigation, communication, cuisine, nourriture sera accessible sous une casquette sans que Jérémie ait à descendre à l’intérieur. Aucune concession ne sera faite à la performance et – au début au moins –, « ce ne sera sans doute pas le bateau le plus confortable du monde, sourit Pierre-François Dargnies. Mais nous pourrons toujours améliorer certaines choses avant le départ du Vendée Globe ».

 

 

Fiche technique

 

Nom du bateau

Charal

Architecte

VPLP

Chantier

CDK Technologies

Longueur

18,28 m

Largeur

5,90 m

Tirant d’eau

4,50 m

Nombre de dérives

2 foils

Hauteur mât

29 m

Voile quille

Acier

Surface de voiles au près

300 m²

Surface de voiles au portant

500 m²

 

 

La Team

 

SYLVAIN HAY, TEAM MANAGER

Chef d’orchestre du projet, il manage l’ensemble de l’équipe, accompagne le partenaire et travaille sur la communication du projet.

PIERRE-FRANÇOIS DARGNIES, DIRECTEUR TECHNIQUE

Il gère le bureau d’étude interne, l’équipe technique et les relations avec les fournisseurs.

Son objectif : « Offrir à Jérém’ un bateau fait à sa main. »

PHILIPPE LEGROS, RESPONSABLE PERFORMANCE

Il suit la construction du nouveau bateau au quotidien et enfile souvent la casquette de skipper « bis » pour collecter les données du bord.

NICOLAS ANDRIEU, INGÉNIEUR BUREAU D’ÉTUDES

Son métier, c’est de suivre la conception du nouveau bateau et de concevoir lui-même les systèmes qui seront implantés à bord.

LAURENT ARNOULT, PRÉPARATEUR EXPERT COMPOSITE

Il gère l’aménagement intérieur et adapte le bateau le plus possible aux besoins de Jérémie.

YANN LE BRETON, PRÉPARATEUR EXPERT ACCASTILLAGE

Il s’occupe de l’accastillage (accessoires du pont...) et du matelotage (cordages...).

PHILIPPE THOMAS, PRÉPARATEUR EXPERT MÉCANIQUE

Il s’occupe de l’installation de la partie moteur et du fonctionnement du système hydraulique.

FLORENCE BELLEC, RESPONSABLE ADMINISTRATIVE ET COMPTABLE

Elle est chargée de la comptabilité et de l’administration courante. Un poste polyvalent et touche à tout.

PAMELA FERTIL, RESPONSABLE LOGISTIQUE

Chargée de l’aménagement des locaux, des hébergements, des commandes de vêtements, etc., elle œuvre au bien-être de la team.

HÉLOÏSE BAÏZÉ, STAGIAIRE INGÉNIEURE BUREAU D’ÉTUDES

Elle a intégré l’équipe en août 2017 pour une expérience unique et un stage d’un an consacré à l’aménagement intérieur du bateau.

GAUTHIER LEBEC, MEDIA MAN

Il filme tout ce qui se passe dans l’équipe et lors des navigations pour apporter des images embarquées.

 

 

Les coachs physique et mental

 

STÉPHANE ELIOT

Préparateur physique, il accompagne Jérémie depuis 5 ans, que ce soit en musculation, en endurance, en gainage ou en proprioception. Objectifs : prévenir le corps des risques de blessure en mer, exceller en endurance et en résistance.

ALEXIS LANDAIS

Préparateur mental et Human Performance auprès de sportifs de haut niveau. Son travail porte sur la dimension mentale et sur la coordination de la stratégie de performance humaine développée autour de Jérémie.

ANTOINE LECARPENTIER

Préparateur physique, récupération, nutrition sportive.

« L’objectif était de travailler en amont sur les besoins énergétiques de Jérémie avant de préparer son alimentation à bord. Une prise alimentaire adaptée à l’effort et équilibrée limitera la sensation de fatigue et lui permettra de naviguer de manière optimale. »

 

 

La Route du Rhum – Destination Guadeloupe

 

En 1978, Michel Etevenon a l’idée de créer une course transatlantique en solitaire entre Saint-Malo et la Guadeloupe : une transat unique de 3543 milles nautiques ! Depuis sa création, elle rassemble, sur la même ligne de départ et le même parcours, monocoques et multicoques, petits coursiers océaniques et géants des mers. Depuis, en 11 éditions, la Route du Rhum – Destination Guadeloupe continue de séduire nombre de marins aux profils et parcours différents. Mais toutes et tous ont cette folle envie : participer à la reine des transats et arriver de l’autre côté, fiers d’avoir réalisé quelque chose d’unique. Le temps d’un face-à-face avec l’océan où l’intensité de la course se mêle à la richesse de l’aventure humaine, elle met des visages anonymes et des grandes figures sur un pied d’égalité.

Des marins d’exception comme Mike Birch, premier héros du Rhum, Florence Arthaud, fiancée pour toujours à l’Atlantique, Laurent Bourgnon, au doublé inégalé, ou encore François Gabart, ont bien marqué les esprits. En 40 ans, cette course océanique est devenue l’une des transats les plus appréciées des skippers.

Un succès sportif, populaire et médiatique.

Le dimanche 4 novembre 2018, ils seront 123 solitaires à s’élancer au large de Saint-Malo pour célébrer les 40 ans de l’épreuve. Petite nouveauté pour cette édition anniversaire, les concurrents se répartiront en six classes, contre cinq en 2014.

Après deux précédentes participations (en 2014 et 2006), Jérémie Beyou prendra le départ à bord de son tout nouvel IMOCA Charal. L’occasion pour le skipper breton de faire corps avec sa nouvelle monture et à son sponsor d’être au plus près de sa signature « Vivons Fort » !

 

Les 10 chiffres clés de la Route du Rhum :

3543

Milles nautiques

40

Ans de l’épreuve

123

Solitaires

6

Catégories de bateaux

6

Ultim

22

Imoca

6

Multi50

53

Class40

17

Rhum Mono

21

Rhum Multi

 

 

Charal, un partenaire impliqué (par Stéphanie Bérard-Gest, directrice marketing)

 

Pourquoi cet engagement dans la voile plutôt que dans un autre sport ?

En 2017, la marque a dévoilé sa nouvelle signature « Vivons Fort ». Nous souhaitions incarner notre griffe « Vivons Fort » à travers un sport et une aventure humaine forte. Le partenariat voile est venu s’installer tout naturellement dans cette nouvelle plateforme de communication avec des valeurs communes autour de la force, du courage et du plaisir, et aussi les notions d’innovation, d’expertise qui sont depuis toujours au cœur de l’ADN de Charal. La course au large est un sport de passion, de dépassement de soi qui suscite beaucoup l’admiration. Nous voulons mettre des étoiles dans les yeux des consommateurs et transmettre toute cette énergie positive.

Et pourquoi aux côtés de Jérémie Beyou, avec le Vendée Globe 2020 comme objectif suprême ?

Comme dans beaucoup d’aventures, c’est avant tout une histoire d’hommes et une rencontre entre deux hommes, deux Bretons en l’occurrence. Mathieu Bigard et Jérémie Beyou ont été en contact alors que Jérémie était encore en course et remontait l’Atlantique pour terminer à la 3e place du Vendée Globe 2017. Ça a été un moment fort d’échange pour les deux hommes et une belle opportunité au regard des enjeux que nous avions de donner une nouvelle dimension à la marque. Nous nous sommes dit : « C’est la personne qu’il nous faut. » Nous n’avons pas contacté d’autres skippers, avec Jérémie nous sentions que nous pouvions établir un partenariat à long terme, c’est une belle personne, authentique, pleine d’ambition et de ténacité ! Il est dans le « toujours plus », il prend le temps de se construire pour être dans l’excellence et la performance. Il a déjà un beau palmarès et un très beau parcours.

Charal, c’est 3000 collaborateurs. Comment vivent-ils ce partenariat avec Jérémie Beyou ?

C’est un beau projet d’entreprise, mobilisateur et idéal pour fédérer en interne, pour renforcer la cohésion. La voile illustre en effet notre message, « Vivons Fort », et possède cette énergie positive qui avait peut-être manqué un peu à la marque ces dernières années, conjuguant force de vie, plaisir et innovation. On s’est dit qu’on pouvait aller plus loin dans notre message. Jérémie se sent investi, porteur de ces valeurs et toute l’entreprise est derrière lui… C’est là aussi une affaire de passionnés partageant une même ambition et unis autour d’un projet gagnant. C’est un bateau gagnant. Le bateau est une véritable fierté pour l’ensemble des équipes et c’est tout naturellement que Thierry Pacaud, boucher Charal, est parrain du bateau.

 

CHARAL À SAINT-MALO

 

Première course, la Route du Rhum – Destination Guadeloupe, dont le départ sera donné le 4 novembre de Saint-Malo. Quelle sera votre présence ?

Nous nous y préparons activement avec un seul objectif : un stand à la hauteur de ce projet et de notre IMOCA, élégant, racé, et sur lequel nous avons hâte de partager beaucoup d’émotions. Nous mettrons en avant sur notre stand les valeurs du projet et créerons des moments de convivialité autour de dégustations de produits… et des surprises très « Vivons Fort » telles que la Charalienne pour partager des moments forts avec le public !

 

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